C’est une bonne question, que se posent également les scientifiques. En effet, on sait que l’homme ne sait pas biosynthétiser la PQQ et que les quantités de PQQ détectées dans nos cellules correspondent nécessairement à des apports d’origine alimentaire.
Or pour être qualifiée de vitamine, une substance ne doit pas être endogène (elle ne doit pas être synthétisée par l’homme), et doit donc provenir de notre alimentation. Mais en outre, pour classifier cette substance dans la catégorie des vitamines, il faut démontrer qu’elle est indispensable à la vie.
Sur ce point précis, il n’y a pas encore de consensus scientifique clair et les recherches sont toujours en cours.
Si le potentiel oxydoréducteur de la PQQ ne fait aucun doute du point de vue biochimique, l’importance du rôle que joue cet actif dans le fonctionnement mitochondrial n’a pas été encore complètement élucidé.
On peut en tout cas répondre que la pyrroquinoléine-quinone est extrêmement proche de la définition d’une vitamine, dont les teneurs alimentaires sont extrêmement faibles et le potentiel d’action physiologique ultra élevé. Le statut de l’ingrédient pourrait par ailleurs évoluer dans les années à venir, au fur que les recherches publiées lèveront le voile sur les rôles biologiques précis de la pyrroquinoléine-quinone.
Pour plus d’information sur cet ingrédient innovant, consultez la fiche index de Nutrixeal Info : Pyrroquinoléine-quinone (PQQ).