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Index physiologique et biochimique

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Découvrez les notions de base en physiologie et biochimie

Cet index présente de manière succincte les notions de base en physiologie et biochimie. Ces informations vous permettront de mieux appréhender le fonctionnement des actifs nutraceutiques que nous vous expliquons dans les articles de Nutrixeal Info.
 
Il s’agit parfois de concepts complexes, que nous nous efforçons de vous présenter de manière simplifiée, et en recentrant l’information sur l’intérêt de chaque notion dans l’univers nutraceutique.
 
Grâce à cet outils, nous souhaitons vous proposer une compréhension toujours plus complète des mécanismes qui permettent à nos actifs d’apporter de réels bienfaits à l’organisme.

Cet index se veut complémentaire de l’index nutraceutique qui répertorie les actifs nutraceutiques et vous présente les caractéristiques, vertus et bienfaits de chacun.
 

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  • L'acide glucuronique est un acide dérivé du glucose. Dans les hépatocytes (cellules majoritaires du foie), il est fréquemment utilisé comme substrat, conjugué à de nombreux composés hydrophobes, pour en accroître la solubilité et en faciliter le processus de détoxification. Lire la suite
  • Les acides gras sont les « briques élémentaires » qui constituent les lipides. Dans l’organisme, ils jouent deux rôles majeurs : un rôle de stockage de l’énergie et un rôle structural (en entrant dans la composition des membranes cellulaires). Ils interviennent également dans de nombreuses fonctions métaboliques. Lire la suite
  • L’amylase pancréatique est une enzyme digestive sécrétée par les glandes pancréatiques et active au sein du suc pancréatique. Agent enzymatique essentiel dans la digestion des glucides, elle poursuit le travail amorcé par l’amylase salivaire au sein de la bouche. Lire la suite
  • L’amylase salivaire (également appelée ptyaline) est une enzyme digestive sécrétée par les glandes salivaires au niveau de la bouche. Agent enzymatique essentiel de la salive, elle débute la digestion chimique des glucides, principale source d’énergie chimique pour les cellules. Lire la suite
  • Les anticorps, également appelés immunoglobulines (Ig), sont des protéines produites par nos lymphocytes B dans le but de détecter et de neutraliser au plus vite les agents infectieux de manière spécifique. Véritables pivots de nos mécanismes d'immunité adaptative, les anticorps se fixent aux microorganismes afin de les rendre plus faciles à éliminer. Lire la suite
  • Un antigène est une molécule naturelle ou synthétique (organique ou non) susceptible d’être reconnue par un récepteur à l’antigène de l’immunité adaptative. Les antigènes sont généralement des protéines, des polysaccharides et des dérivés lipidiques. Lire la suite
  • Parmi d’autres barrières physiologiques de l’organisme, celle de l’intestin joue un rôle physiologique particulièrement important. En effet, comme toutes les barrières physiologiques, la barrière intestinale se doit d’être sélectivement perméable (aux nutriments aptes à rejoindre la circulation sanguine ou lymphatique) et parfaitement imperméable aux macromolécules, aux agents pathogènes, aux toxines, etc. Lire la suite
  • La bile est un liquide physiologique contenant notamment des sels biliaires (ou acides biliaires selon le pH). La bile joue un rôle majeur dans les mécanismes de notre système digestif ainsi que pour la détoxification de l’organisme. Lire la suite
  • Les cellules dendritiques ont la particularité d’être très nombreuses et présentes dans tout l’organisme, notamment dans les tissus en contact avec le milieu extérieur comme les muqueuses. Ainsi, en cas de signal de danger, elles peuvent rapidement rejoindre la zone endommagée. Lors de la réaction inflammatoire, les acteurs de l’immunité innée produisent des médiateurs chimiques de type chimiokines qui induisent le recrutement des cellules dendritiques sur le site de l’infection. Lire la suite
  • Les cellules NK (pour « Natural Killer cells » en anglais) sont des lymphocytes historiquement appelés « cellules tueuses naturelles » en raison de leur capacité apparemment spontanée à lyser des cellules tumorales ou infectées de façon non spécifique, ce qui permet de les distinguer des lymphocytes T cytotoxiques qui exercent une action spécifique. Lire la suite
  • Les cellules présentatrices d’antigènes, connues sous l’abréviation CPA, sont des cellules immunitaires essentielles dans l’induction de l’immunité adaptative. Généralement situées dans les épithéliums, elles sont capables de capter les antigènes puis de les transporter dans les tissus lymphoïdes secondaires (nœuds lymphatiques, rate…) où elles les présenteront aux lymphocytes dans le but de les activer pour la mise en place d’une défense immunitaire hautement spécifique. Lire la suite
  • La cétogenèse est un processus métabolique indispensable à la vie, qui permet de survivre en conditions de jeûne. En cas de déficit en sucre, cette voie conduit à la formation de corps cétoniques, véhiculés jusqu’au cerveau, afin de lui fournir un apport énergétique en lieu et place du glucose. Lire la suite
  • Les molécules de collagène sont des protéines de structure dont la principale fonction est d’assurer une résistance mécanique à l’étirement, tout en assurant la souplesse et l’élasticité des tissus de l’organisme. À l’inverse de l’élastine, ces molécules sont inextensibles, ce qui confère aux tissus une haute résistance à la traction. Ces protéines sont également impliqués dans d’autres processus physiologiques essentiels tels que l’adhésion et la migration cellulaire. Lire la suite
  • Le côlon, ou gros intestin, est la dernière partie du système digestif, dans la continuité de l’intestin grêle. Il a principalement pour rôle l’élimination des déchets. Il en absorbe l’eau et maintient ainsi l’équilibre hydrique. Il absorbe également certaines vitamines et minéraux. Lire la suite
  • Les corps cétoniques sont des composés organiques produits par le corps dans le but d’apporter à l'organisme une source d’énergie de secours dans les moments de jeûne (afin d'économiser le glucose). Lire la suite
  • Les cytokines sont des protéines solubles qui jouent un rôle central dans les défenses immunitaires de l’organisme en réponse à un signal de danger. Elles permettent en effet aux cellules immunitaires de communiquer entre elles à distance et d’agir sur d’autres cellules afin d’en réguler l’activité et la fonction. Lire la suite
  • Les desmosomes, également appelés jonctions d’ancrage ou macula adherens, sont des jonctions intercellulaires fonctionnant à la manière de rivets : elles retiennent solidement les cellules entre elles de façon à former des tissus résistant à la compression et à l’étirement. Lire la suite
  • La détoxification vise à l’inactivation de toutes les substances nocives pour l’organisme, d’origine interne ou externe. Le but de la détoxification est de mettre définitivement fin à l’activité biologique de ces molécules toxiques pour l’organisme, puis de les éliminer, majoritairement par voie rénale. Lire la suite
  • Le duodénum est le premier segment de l'intestin grêle, qui fait immédiatement suite à l'estomac, par l'intermédiaire du pylore. Anatomiquement, le duodénum est étroitement lié au pancréas, autour duquel il s'enroule (en formant une sorte de lettre C) et depuis lequel se déverse le suc pancréatique, qui contient des bicarbonates (pour élever le pH du bol alimentaire) et de puissantes enzymes digestives (amylases, lipases, protéases, etc.), afin d'initier l'hydrolyse et la digestion des nutriments. Lire la suite
  • Les entérocytes constituent l'un des principaux types de cellules qui forment l'épithélium intestinal. Morphologiquement, ce sont des cellules plus ou moins cylindriques, dont le pôle apical forme une sorte de plateau orné de microvillosités qui permettent d'accroitre la surface d'échange de la cellule avec le tube digestif et les nutriments. Lire la suite
  • Les espèces réactives sont des molécules chimiques à l’origine d’un concept biologique bien connu du grand public et désormais omniprésent celui du « stress oxydant ». Egalement qualifiées de pro-oxydants, les espèces réactives sont des composés susceptibles de provoquer des réactions d’oxydation pouvant entraîner des dommages. Lire la suite
  • L’estomac est un organe au cœur du système digestif. Positionné entre l’œsophage et le duodénum (première partie de l’intestin grêle), il reçoit les aliments prémâchés dans la bouche qui passent dans l’œsophage pour aboutir au niveau de l’estomac où ils subiront les premières étapes de la digestion alimentaire. Lire la suite
  • Le facteur intrinsèque, également appelé facteur intrinsèque gastrique ou facteur de Castle (du nom de son découvreur William Bosworth Castle), est une glycoprotéine synthétisée au niveau de l’estomac par les cellules bordantes (ou pariétales). Son rôle principal est de protéger et faciliter l’absorption de la vitamine B12 (ou cobalamine). Lire la suite
  • Le foie est un organe abdominal vital, en interface direct avec le sang et le système digestif. Il assure simultanément des fonctions de synthèse, de stockage énergétique et d’épuration. C’est l’organe central de la détoxication de l’organisme. Lire la suite
  • Les fucosyltransférases (FUT) sont des enzymes qui interviennent dans des mécanismes clés de notre métabolisme. Elles sont notamment impliquées dans la formation des antigènes essentiels à la reconnaissance de nos groupes sanguins ou encore dans la production des mucus recouvrant nos muqueuses physiologiques. Lire la suite
  • Le gène FUT2, également appelé gène Se, code pour une enzyme spécifique, l’enzyme FUT2. Cette enzyme joue un rôle très important dans notre organisme car elle permet la formation d'un oligosaccharide essentiel, le fucosyllactose, et intervient également dans la formation des mucus contribuant à protéger nos muqueuses physiologiques. Lire la suite
  • Les ganglions lymphatiques sont de petits organes formés d’agrégats nodulaires et disséminés dans tout l’organisme sur le trajet de la circulation lymphatique. Ils assurent ainsi la filtration de la lymphe, un liquide biologique contenant de nombreuses cellules actrices dans la défense immunitaire de l’organisme. Lire la suite
  • Le glucagon est une hormone sécrétée à la périphérie des îlots de Langerhans, dans les cellules alpha du pancréas, et dont l'action est hyperglycémiante, c'est à dire qu'elle stimule l'élévation du taux de glucose sanguin, en stimulant notamment la glycogénolyse (l'hydrolyse du glycogène) stocké dans le foie et dans les cellules musculaires. Lire la suite
  • Ce polymère de glucose est utilisé dans le monde végétal (champignons uniquement) et surtout très largement dans le monde animal pour stocker l'énergie chimique du glucose, dans le foie (organe de synthèse et de stockage) ainsi que dans toutes les cellules musculaires, de manière analogue à l'amidon chez les végétaux. Lire la suite
  • Les hépatocytes représentent environ 70 à 80% des cellules du foie et constituent à elles seules de véritables usines indépendantes multifonctions, au service de notre métabolisme et du traitement de tous les déchets, toutes les toxines et tous les xénobiotiques de notre organisme. Elles sont au cœur de toutes les fonctions hépatiques. Lire la suite
  • L'homéostasie peut être résumée comme la capacité d'un système à se maintenir à l'équilibre de fonctionnement en dépit des contraintes qui lui sont extérieures. En biologie, ce terme s'applique à l'ensemble des paramètres qui doivent être maintenus constants (glycémie, température, taux en vitamines et minéraux...) Lire la suite
  • L’immunité adaptative constitue la seconde ligne de défense de l’organisme vis-à-vis d’agents infectieux et de substances étrangères. Également appelée immunité spécifique ou acquise, elle ne se développe qu’après exposition à des agents inducteurs tels que les microorganismes, les cellules anormales, les toxines et toute autre substance étrangère. Lire la suite
  • L’immunité innée constitue la première ligne de défense de l’organisme vis-à-vis d’agents infectieux et de substances étrangères. Immédiate, elle est mise en place dès les premières heures et n’est fonctionnelle que quelques jours. Lire la suite
  • L’insuline est l’hormone régulant la glycémie lors de la phase dite alimentaire (glycémie post prandiale), à l’inverse du glucagon qui est l’hormone dite du jeûne. Découverte en 1920 par Frederick Grant Banting, l’insuline est une hormone bioactive se présentant sous la forme d’un hétérodimère composé de deux chaînes polypeptidiques, la chaîne α composé de 21 acides aminés et la chaîne β composée de 30 acides aminés. Ces deux chaînes sont reliées entre elles par deux ponts disulfures. Lire la suite
  • L’intestin grêle est l’organe principal du système digestif humain, puisque c’est celui qui est en charge de l’absorption de l’essentiel des nutriments dont notre organisme a besoin : glucides, acides aminés, acides gras à chaines courtes, acides gras à longues chaînes, eau, sels minéraux, etc. Lire la suite
  • Les jonctions intermédiaires ou adhérentes, également appelées zonula adherens, sont tout comme les jonctions serrées, une sorte de ceinture qui entoure la cellule au niveau apical. Situées juste en dessous des jonctions serrées, elles sont surtout présentes au sein des cellules polarisées et ont la particularité de laisser un espace intercellulaire plus important que les jonctions serrées. Lire la suite
  • Les jonctions communicantes ou jonctions gap (également retrouvées sous le nom de jonctions ouvertes) sont des jonctions en forme de canaux reliant les cytoplasmes de deux cellules adjacentes. Lire la suite
  • Pour former des structures très organisées, les cellules adhèrent les unes aux autres, interagissent et communiquent entre elles via des zones de contact appelées liaisons intercellulaires. Lire la suite
  • Les jonctions serrées, également appelées zonula-occludens, sont des jonctions étanches qui forment une barrière perméable au niveau du pôle apical des cellules (zone en contact avec la lumière de l’organe). Ces jonctions forment ainsi une ceinture, dont découle le terme « zonula ». Lire la suite
  • La lipase gastrique est une enzyme sécrétée par les cellules principales de l’estomac. A l’inverse de la pepsine, cette lipase est directement synthétisée sous sa forme active. Notre organisme en sécrète jusqu’à 25 mg par jour. Lire la suite
  • La lipase linguale ou salivaire est une enzyme principalement sécrétée par les glandes linguales. Libérée dans la bouche via la salive, cette enzyme catalyse la première étape de digestion des lipides et plus particulièrement des triglycérides. Lire la suite
  • La lipase pancréatique, également connue sous le nom de lipase-colipase pancréatique, est une enzyme digestive sécrétée par le pancréas et libérée dans le duodénum via le suc pancréatique. Différente des lipases linguales et gastriques, elle participe activement à la digestion des lipides. Lire la suite
  • La lymphe est un liquide biologique de couleur généralement jaunâtre. Tout comme le sang, elle circule dans tout l’organisme au sein d’un système qui lui est propre, le système lymphatique. Filtrat du plasma sanguin, la lymphe à une composition cytologique semblable à celle du plasma à savoir majoritairement des globules blancs de type lymphocytes. Lire la suite
  • Les lymphocytes sont des acteurs cellulaires essentiels de l’immunité adaptative. Appartenant à la grande famille des leucocytes (globules blancs), ils se trouvent principalement au sein de la rate et des ganglions lymphatiques. Lire la suite
  • Acteur essentiel de l’immunité innée, les macrophages sont des globules blancs provenant de la différenciation des monocytes. Tout comme les polynucléaires neutrophiles, ces derniers sont des cellules sanguines circulantes recrutées au site de l’infection où ils pourront reconnaître et phagocyter les agents infectieux. Les macrophages sont en effet des phagocytes capables de phagocytose. Lire la suite
  • Le corps humain héberge plus de 10 000 milliards de microorganismes, principalement dans l’intestin, mais également au niveau de la peau, de la bouche ou encore des voies respiratoires et génitales. Il s’agit principalement de bactéries, mais on y trouve également des champignons ou d’autres parasites non pathogènes. Ces populations bactériennes, bénéfiques au fonctionnement de notre organisme, composent ce que l’on nomme les microbiotes. Lire la suite
  • La moelle osseuse, organe lymphoïde primaire, est un tissu disséminé au sein des structures osseuses et plus précisément au centre des os. La moelle osseuse est le site par excellence de l’hématopoïèse (processus physiologique de production des cellules sanguines), elle est donc un organe central du système immunitaire. Lire la suite
  • Les mucines sont les constituants principaux des mucus tapissant les muqueuses digestives, respiratoires et génitales de l’organisme. Ces glycoprotéines forment un réseau protéique aux caractéristiques physico-chimiques bien particulières qui confèrent aux mucus leurs propriétés viscoélastiques. Lire la suite
  • Le mucus est un fluide biologique viscoélastique complexe qui recouvre la plupart des muqueuses (digestives, respiratoires ou génitales) de l’organisme dans le but d’assurer une barrière protective, sélective et lubrifiante. Lire la suite
  • Les nucléotides sont les briques élémentaires qui constituent notre matériel génétique. Ces petites molécules organiques s’associent en effet via des liaisons covalentes pour former de longs brins d’ADN ou d’ARN contenant l’information génétique. Les nucléotides sont également une source d'énergie pour nos cellules, sous la forme d'ATP. Lire la suite
  • Le pancréas est une glande abdominale vitale, la deuxième plus grosse en volume après le foie et comporte en réalité deux sous-organes distincts, avec une partie exocrine, qui fabrique le suc pancréatique, qui se déverse dans le duodénum et joue un rôle majeur dans le processus digestif, et une partie endocrine qui synthétise des hormones déversées directement dans le flux sanguin : glucagon, insuline, somatostatine, etc. Lire la suite
  • La pepsine, du grec pepsis qui signifie digestion, est une enzyme digestive présente dans le suc gastrique de l’estomac. Elle est synthétisée sous une forme inactive, le pepsinogène, par les cellules principales des glandes gastriques présentes dans l’antre et le fundus. Lire la suite
  • Le pepsinogène est une protéine synthétisée via le suc gastrique par les cellules principales de l’estomac. Sous sa forme native, le pepsinogène ne possède aucune activité enzymatique de type protéolytique. On parle alors de proenzyme, précurseur inactif d’une enzyme active, la pepsine. Lire la suite
  • Les peptides antimicrobiens sont des protéines multifonctionnelles jouant un rôle biologique fondamental, notamment dans l’élimination des microorganismes pathogènes. Redoutables armes pour se défendre, les protéines antimicrobiennes sont considérées comme des éléments clés du système immunitaire innée notamment grâce à leur pouvoir antibiotique à large spectre. Lire la suite
  • Les phagocytes, auxquels appartiennent les macrophages, sont des cellules dont la fonction principale est d’ingérer et de détruire les microorganismes et les tissus endommagés. Appartenant à la grande famille des globules blancs (également appelés leucocytes), ils ingèrent et détruisent ainsi tout agent infectieux ou particule étrangère ayant réussi à franchir les défenses externes constituées de la peau et des muqueuses. Lire la suite
  • Acteur essentiel de l’immunité innée, les polynucléaires, également appelés granulocytes, sont les phagocytes les plus abondants. Les polynucléaires neutrophiles notamment représentent 60 à 70% de tous les leucocytes. Lire la suite
  • Les protéases sont des enzymes qui hydrolysent la liaison peptidique reliant deux acides aminés d’une protéine. Les protéases ont été classées en six familles mécanistiques. Lire la suite
  • La rate est un organe clé au carrefour de l’immunité et de la vascularisation. Considérée comme l’organe lymphoïde secondaire le plus volumineux (environ 200 grammes), elle est en étroite relation avec la circulation sanguine afin d’assurer au mieux des fonctions de filtration, de production et de stockage. Lire la suite
  • Une réaction inflammatoire est une réponse de l’organisme face à une lésion tissulaire causée soit par une blessure soit par la pénétration d’un agent pathogène. Lorsque nos barrières physiques et chimiques contre les infections (peau et muqueuses) sont compromises, les tissus endommagés et/ou les microorganismes entrants vont activer une réponse inflammatoire via des signaux de danger. Lire la suite
  • La salive est un fluide biologique sécrété par les glandes salivaires au niveau de la bouche. Elle y joue un rôle central dans l’humidification et la lubrification des aliments afin de les préparer à leur digestion. Elle contribue également directement à la digestion de certains sucres (amidon et glycogène) et lipides. Lire la suite
  • On parle de stress oxydant, ou stress oxydatif, lorsqu’il y a plus d’oxydants générés dans l’organisme que de composés antioxydants. Ce déséquilibre peut entraîner des dommages moléculaires importants. Il s’agit de la première cause de vieillissement cellulaire. Lire la suite
  • Le suc gastrique est un fluide biologique produit par l’estomac dans le but de faciliter la digestion des aliments. Il joue également un rôle protecteur vis-à-vis de la haute acidité retrouvée dans l’estomac. Chez l’Homme, environ 2 L de suc gastrique sont produits chaque jour. Lire la suite
  • Le système immunitaire correspond à l'ensemble des cellules, des tissus et des molécules qui assurent un travail de protection contre les nombreux virus, bactéries et tout autre agent pathogène pouvant potentiellement présenter un danger pour l'organisme. Il regroupe également les moyens de lutte contre les cellules anormales produites par le corps et susceptibles de donner naissance à des cancers. Les réactions engendrées suite à la reconnaissance de ces « intrus » sont qualifiées de réponses immunitaires. Lire la suite
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  • Le thymus est le lieu privilégié pour la différenciation et la sélection des lymphocytes T, acteurs immunitaires clés du système immunitaire spécifique (immunité adaptative). Situé dans la partie supérieure du thorax, à l’arrière de la partie haute du sternum, il joue notamment un rôle très important dans la mise en place du système immunitaire chez l’enfant. Avec la moelle osseuse, il fait partie des organes lymphoïdes primaires (ou centraux) Lire la suite
  • La thyroïde est une glande qui tient un rôle central pour le bon fonctionnement de notre organisme. Les hormones qu’elle synthétise interviennent en effet dans de très nombreux mécanismes, si bien qu’un dérèglement de son fonctionnement peut affecter à la fois notre poids, notre sommeil, notre humeur, notre système digestif ou encore notre système cardio-vasculaire. Lire la suite
  • La trypsine est une enzyme digestive présente dans le suc pancréatique et qui joue un rôle central dans la digestion des protéines alimentaires. Comme la pepsine, la trypsine est synthétisée sous une forme inactive, le trypsinogène, et stockée dans les vésicules enzymatiques des cellules acineuses (cellules pancréatiques spécifiques). Au moment de la digestion, le trypsinogène est excrété et activé en trypsine via l’hydrolyse d’un segment protéique sous l’action de l’entérokinase ou par effet d’autoactivation de la trypsine. Lire la suite
  • Le trypsinogène est une protéine sécrétée par les cellules pancréatiques dans le suc pancréatique qui se déverse dans le duodénum pour faciliter la digestion des protéines. Le trypsinogène est la forme inactive (proenzyme) de la trypsine, enzyme impliquée dans la digestion des polypeptides dans l’intestin grêle. Lire la suite
  • Les molécules qualifiées de xénobiotiques sont des molécules étrangères au métabolisme, qui sont entrées et présentes de manière plus ou moins fortuite dans l’organisme. Lire la suite
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