L’équipe Nutrixeal Info a consacré un article spécialement à cette question récurrente sur les apports en omega-3 des huiles végétales. En effet, de nombreuses personnes pensent, à tort, que la consommation régulière d’huile de lin ou de colza par exemple peut leur permettre de couvrir l’ensemble des besoins en omega-3 de leur organisme.
Or, si ces huiles végétales sont effectivement riches en acide alpha-linolénique (ALA), elles ne contiennent pas de DHA (acide docosahexaénoïque) ni d’EPA (acide eicosapentaénoïque). Ces derniers sont pourtant indispensables au bon fonctionnement de notre organisme, qui ne sait pas (ou très peu) les synthétiser à partir d’ALA. Pour plus de renseignements sur ce point, consulter notre article sur les limites de la biosynthèse endogène de DHA à partir d’ALA.
On estime que moins de 1% d’ALA peut être transformé en DHA par l’organisme. Ainsi, pour atteindre les apports quotidiens conseillés en DHA, il faudrait consommer une quantité vraiment très importante d’huiles végétales (250 mL d’huile de colza pour obtenir les 250 mg d’apports journaliers recommandés en omega-3 DHA). Difficile dans ces conditions de n’envisager que cette solution pour subvenir aux besoins de l’organisme pour l’ensemble des omega-3.
Une alimentation contenant des poissons gras (saumons, maquereaux, sardines…), riches en omega-3 DHA et EPA, permettra notamment de répondre à ces besoins. Une supplémentation en huile de petits poissons (gamme Nutrixeal Omegartic®), concentrée en DHA et EPA, peut également être nécessaire selon les situations.
Pour approfondir cette question :
Pour en savoir plus sur les omega-3 et leurs bienfaits, consultez les fiches de l’index nutraceutique :