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Vérités et contre-vérités sur la vitamine C liposomale

Vérités et contre-vérités sur la vitamine C liposomale.

Le contexte sanitaire a mis la vitamine C particulièrement en lumière et plus encore la vitamine C liposomale, qui jouit déjà depuis quelques années d’une popularité croissante auprès des consommateurs et des professionnels de santé. On peut même aller jusqu’à dire que la vitamine C liposomale déchaîne aujourd’hui les passions éditoriales chez de nombreux commentateurs du secteur nutraceutique… À tel point qu’à son propos, on lit un peu tout et son contraire sur le web.

Certaines pages prêtent des vertus miraculeuses à la vitamine C liposomale, au risque de verser quelquefois dans une certaine exagération.

D’autres pages font à la vitamine C liposomale un procès qui nous semble en grande partie infondé et inéquitable.

Enfin, les esprits s’enflamment également sur le caractère plus ou moins véridique de la mention « liposomale » pour certaines formes de vitamine C…

Cependant, les pages et les auteurs qui s’expriment sur le sujet ne brillent pas toujours par leur impartialité ni par leurs connaissances techniques approfondies sur la fabrication des liposomes et les technologies sophistiquées qui permettent d’en évaluer la qualité… Pour l’équipe Nutrixeal en revanche, la fabrication des liposomes constitue aujourd’hui un réel pôle d’expertise. Depuis plusieurs années, nous avons investi énormément d’efforts de recherche et développement, avec un intérêt croissant pour ces techniques galéniques, dont nous avons pu mesurer le potentiel extraordinaire pour l’optimisation de nos nutraceutiques.

Nous avons donc eu envie de prendre la parole, afin de rectifier certaines contre-vérités sur la vitamine C liposomale, et de clarifier le débat sur un terrain plus rationnel. Partons à l’assaut de quelques idées reçues sur les liposomes de vitamine C !

Pourquoi la technologie liposomale est-elle un enjeu pour la vitamine C ?

L’organisme humain souffre d’un double handicap face à la vitamine C !
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Notre organisme ne sait pas synthétiser de la vitamine C

Comme nous l’avons déjà évoqué dans notre dossier dédié à la vitamine C, l’incapacité de l’organisme humain à synthétiser la vitamine C à partir du glucose est réellement atypique dans le règne animal et parmi les autres mammifères.

Chiens, chats, chèvres, vaches ou cochons : tous sont capables de synthétiser la vitamine C au fur et à mesure de leurs besoins. Cela leur confère une bien meilleure capacité d’adaptation pour faire face à différents types de stress et en particulier pour résister aux infections. On estime ainsi qu’une chèvre de 70 kg synthétise de l’ordre de 10 g d’acide ascorbique par jour en temps normal, et potentiellement beaucoup plus si le besoin s’en fait sentir.

Cette incapacité de l’être humain à synthétiser la vitamine C en fonction des besoins constitue donc un handicap certain, que nous partageons avec nos cousins primates. Mais dans leur habitat naturel, les grands singes ont un régime alimentaire extrêmement diversifié (fruits, noix, amandes, insectes, feuilles tendres, etc.) qui leur fournit quotidiennement de grandes quantités de vitamine C. Leurs apports alimentaires en acide ascorbique sont donc infiniment supérieurs à ceux de notre régime alimentaire occidental, malheureusement très pauvre en aliments frais !

Les habitudes alimentaires de nos modes de vie modernes sont souvent trop pauvres en aliments frais et donc en vitamine C.

Au regard du régime alimentaire des grands singes de la forêt équatoriale, on comprend d’ailleurs mieux par quel accident de parcours étrange, nos lointains ancêtres ont pu perdre au cours de leur évolution la capacité à synthétiser leurs besoins quotidiens en vitamine C, à une époque où leurs apports alimentaires couvraient probablement beaucoup mieux qu’aujourd’hui leurs besoins en acide ascorbique.

Quoi qu’il en soit, notre organisation de vie moderne, nos habitudes et nos goûts alimentaires ne nous permettent pas de trouver dans notre alimentation quotidienne les mêmes apports que ceux de nos cousins primates (peu d’entre nous se sont déjà essayés à manger des larves d’insectes…) et les situations de carence en vitamine C sont donc assez fréquentes et bien réelles pour bon nombre d’entre nous.

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Notre système digestif n’est pas adapté pour absorber de grandes quantités de vitamine C

Nous l’avons déjà évoqué également : nos intestins sont peu performants pour gérer de grandes quantités de vitamine C. Le faible nombre de transporteurs intestinaux disponibles pour la vitamine C crée un goulet d’étranglement et, au-delà d’un certain seuil, les doses élevées d’acide ascorbique conduisent invariablement à des désordres digestifs assez déplaisants !

La concentration du bol alimentaire en vitamine C, plus élevée que le taux plasmatique, entraîne une pression osmotique sur les intestins, et l’entrée d’eau dans l’intestin.

Par différents mécanismes réflexes, le péristaltisme intestinal est accéléré.

Une grande partie de la vitamine C n’est pas absorbée dans l’intestin grêle et parvient dans le gros intestin, où elle va être métabolisée par la flore microbienne.

La métabolisation de la vitamine C par les microorganismes du colon déclenche la libération de gaz, source d’inconfort digestif…

Ce phénomène se produit chaque fois que la quantité de vitamine C absorbée excède la capacité de nos transporteurs intestinaux, et le seuil de tolérance varie pour chaque individu en fonction de l’état de son système digestif, de ses besoins et de ses concentrations plasmatiques en vitamine C.

Chez certains d’entre nous, l’écosystème digestif est si sensible qu’une dose très modeste de vitamine C classique suffit à déclencher des troubles fonctionnels et un inconfort assez immédiat…

Même aux doses modestes de vitamine C autorisées par la réglementation française (1 g par jour), la recherche de solutions galéniques pour améliorer l’assimilation de l’acide ascorbique est donc très légitime, et l’encapsulation liposomale fait clairement partie des solutions les plus performantes.

Améliorer l’absorption et la tolérance digestive de la vitamine C 

Forte de son expertise, l’équipe Nutrixeal vous propose différentes possibilités afin d’optimiser l’absorption et la tolérance intestinale de la vitamine C. Ces solutions pratiques vous sont présentées ci-dessous, de la plus simple à la plus sophistiquée…

Solution pratique n°1 : des doses réduites et espacées dans le temps

Évidemment, ce n’est pas toujours possible et parfois frustrant dans certaines situations, en particulier lorsque l’on souhaite renforcer rapidement l’efficacité de son système immunitaire.

Solution pratique n°2 : les formes à libération retardée

Dans le produit Ester-C® PhytoComplex en comprimés, nous utilisons une matrice dont la libération intestinale est progressive. Cette libération retardée lisse les pics de concentration en acide ascorbique dans l’intestin, ce qui évite la saturation des transporteurs.

Globalement, l’assimilation et la tolérance digestive sont améliorées avec cette optimisation galénique toute simple.

En revanche, les comprimés à libération retardée sont évidemment un peu moins rapides d’action pour élever les taux plasmatiques et intracellulaires en acide ascorbique.

Solution pratique n°3 : l’Ester-C®, vitamine C brevetée à la pénétration cellulaire améliorée

L’Ester-C® est une forme de vitamine C brevetée, dont l’efficacité repose sur l’incorporation d’un métabolite naturel de la vitamine C (l’acide thréonique), dont la présence améliore très significativement la pénétration cellulaire et la durée de rétention de la vitamine C dans l’organisme.

Dans l’Ester-C®, la vitamine C est présente sous forme d’ascorbate de calcium et l’acide thréonique sous forme de thréonate de calcium. L’ensemble forme un complexe à pH neutre, dont la tolérance digestive est très nettement améliorée par rapport à l’acide ascorbique ordinaire.

Nutrixeal utilise l’Ester-C® dans la formule évoquée précédemment (Ester-C® PhytoComplex en comprimés à libération retardée) ainsi qu’en forme liposomale dans le produit Ester-C® PhytoComplex en poudre liposomale.

Solution pratique n°4 : l’encapsulation liposomale

L’encapsulation liposomale est la solution la plus performante et la plus élégante aux difficultés d’assimilation et de tolérance intestinale de la vitamine C.

Lorsqu’il est encapsulé dans les liposomes, l’acide ascorbique ne crée pas de pression osmotique sur l’intestin.

Et surtout, la vitamine C encapsulée dans un liposome peut en théorie se passer de transporteur spécifique en diffusant par voie passive au travers des membranes phospholipidiques de l’intestin (par endocytose).

Ce faisant, la vitamine C encapsulée dans un liposome s’affranchit donc totalement (tout au moins en théorie) des limitations habituelles qui restreignent l’absorption intestinale de la vitamine C.

Gros plan sur les atouts de la vitamine C liposomale

La vitamine C liposomale est beaucoup mieux tolérée au niveau intestinal et beaucoup plus assimilable que la vitamine C classique.

Tolérance intestinale très améliorée

En pratique, les différents grades de vitamines C encapsulés par Nutrixeal grâce à notre technologie innovante ZetaGreen® se démarquent effectivement par leur très grande tolérance intestinale, signe d’une encapsulation efficace et utile.

Lors de tests internes de tolérance réalisés avec le produit Vitamine C 500 mg Quali®-C ZetaGreen®, nous avons ainsi pu mesurer une très nette élévation du seuil de tolérance intestinale (au moins 20 fois plus élevé que pour la même vitamine C en grade classique, non liposomal).

Ces tests internes viennent corroborer les retours des utilisateurs et cadrent également avec notre longue expérience produit avec l’Ester-C® PhytoComplex en poudre liposomale (qui combine les avantages de l’encapsulation liposomale et les avantages spécifiques de l’Ester-C®).

Biodisponibilité supérieure

Toutes les données publiées dans la littérature confirment par ailleurs que la vitamine C liposomale permet également d’atteindre des taux plasmatiques d’acide ascorbique nettement plus élevés qu’une vitamine C standard.

Les données issues de la littérature sont très cohérentes avec nos données internes concernant les vitamines C ZetaGreen®, dont l’efficacité dépasse très nettement les vitamines C classiques.

Mieux assimilée et mieux tolérée, la vitamine C liposomale est bien évidemment un actif dont l’efficacité et l’utilité ne fait pas de doute (en particulier pour les utilisateurs qui présentent une certaine fragilité digestive ou pour ceux qui souhaitent augmenter leurs apports quotidiens en vitamine C).

Efficacité de la vitamine C liposomale : quelques limites

Limite liée au mode de supplémentation

  • Par voie orale, la biodisponibilité n’est jamais égale à 100%.

Contrairement aux allégations relayées par certains sites d’information, en supplémentation par voie orale, la biodisponibilité de la vitamine C ne peut jamais atteindre 100%, même avec une forme liposomale !

Un apport d’acide ascorbique liposomé par voie orale ne peut évidemment pas avoir un impact physiologique équivalent à celui d’une forme injectable (par voie intraveineuse) de vitamine C ! Notez également que les apports de vitamine C par voie intraveineuse sont par ailleurs très peu disponibles en France et réservés à des cas thérapeutiques très spécifiques qui sortent du cadre de la supplémentation nutraceutique concernée par cet article.

Limite liée à la technique

  • L’acide ascorbique n’est jamais encapsulé à 100%.

Malgré tous les soins apportés à la fabrication des liposomes, l’encapsulation des actifs hydrosolubles comme l’acide ascorbique n’est jamais 100% complète. Dans la pratique, une petite partie de l’acide ascorbique ne se trouve pas à l’intérieur des liposomes, ce qui entrave un peu l’efficacité globale.

De plus, les liposomes subissent toujours quelques dégradations. Il faut avoir conscience que les liposomes peuvent être dégradés au contact des acides biliaires, et qu’ils subissent toujours quelques dégradations lors d’un séjour prolongé dans un milieu gastrique très acide.

Cela fait d’ailleurs partie de l’expertise de chaque laboratoire producteur de liposomes que d’optimiser la résistance de ces derniers aux conditions gastriques. Cette protection des liposomes repose notamment sur la qualité des phospholipides employés et sur la qualité de préparation des liposomes et leurs caractéristiques morphologiques (taille, structure, etc.)

Limite liée à la qualité des liposomes

  • L‘assimilation par diffusion passive (endocytose) ne peut s’effectuer que pour les liposomes les plus performants.

Seuls les liposomes unilamellaires de très petite taille ont des chances sérieuses de passer la barrière digestive par endocytose au travers des membranes phospholipidiques des entérocytes. Les liposomes de moindre qualité (ou ceux qui ont été dégradés par le pH de l’estomac) ne peuvent emprunter cette voie. L’absorption intestinale des liposomes de ce type repose en partie sur l’action de phospholipases intestinales et leur biodisponibilité n’est donc malheureusement pas intégrale.

Il existe encore une multitude de phénomènes physiologiques complexes qui peuvent limiter la biodisponibilité de la vitamine C liposomée.

MALGRÉ TOUTES CES RÉSERVES

La vitamine C liposomale reste bien plus efficace, plus assimilée et plus douce pour les intestins qu’une vitamine C classique, non liposomale, en particulier pour des doses élevées d’acide ascorbique.

À plus petites doses, les effets indésirables de la vitamine C sont moins importants, les bénéfices de l’encapsulation liposomale sont donc moins flagrants. À de faibles dosages, cette dernière est ainsi moins indispensable.

Pour le choix de votre supplémentation en vitamine C, les différents éléments de compréhension présentés dans cet article doivent donc être mis en relation avec vos réactions physiologiques (sensibilité intestinale plus ou moins marquée) ainsi qu’avec vos besoins en vitamine C (et donc le dosage souhaité).

POUR ALLER PLUS LOIN

Comment est contrôlée la qualité des liposomes ?

Pour mesurer la qualité d’un actif liposomal, il faut des installations coûteuses et sophistiquées (DLS, microscopie à force atomique ou microscopie électronique environnementale à balayage…). Même si l’on dispose du matériel (ce qui est rare), il faut développer les méthodes de préparation d’échantillon, choisir les bons algorithmes, exploiter correctement les données collectées… C’est une affaire de spécialistes !

Pour l’instant, aucun laboratoire indépendant agréé ne propose ce type de service d’analyse spécialisée et encore moins de mesures normées.

En pratique, à part quelques rares laboratoires universitaires, seuls les laboratoires producteurs tels que Nutrixeal, qui possèdent des équipes expérimentées et qui ont réalisé les investissements indispensables en appareillage de mesure et en développement de méthodes, sont en capacité de réaliser en routine le contrôle de la qualité des liposomes produits, lot après lot.

Force est de constater l’absence de normes et de laboratoires indépendants agréés pour le contrôle de la qualité des liposomes mais également le peu de producteurs sérieux en Europe et encore moins en France. Cela engendre à l’heure actuelle une certaine « fébrilité » du marché, alors que la demande en actifs liposomaux ne cesse de se développer.

En conséquence, les produits présents sur le marché (en tout cas ceux que nous avons pu tester dans notre laboratoire de contrôle) sont fort logiquement de qualité très hétérogène. Mais la concurrence aidant, nous estimons que la qualité moyenne des produits devrait rapidement s’améliorer et se normaliser dans les prochaines années, pour répondre aux attentes des utilisateurs.

Attention aux contre-vérités sur la vitamine C liposomale

La durée de rétention de la vitamine C dans l’organisme n’est pas augmentée par l’encapsulation liposomale !

Contrairement aux affirmations hâtives de certains, la durée de rétention de la vitamine C liposomale dans l’organisme n’est pas différente de celle de la vitamine C classique.

En effet, il faut bien comprendre qu’un liposome contenant de la vitamine C n’est qu’un vecteur éphémère, qui s’autodétruit lorsqu’il fusionne avec la membrane de la première cellule qu’il rencontre et dans laquelle il transfère les actifs qu’il contient. La vitamine C continue alors son chemin normalement vers la circulation sanguine, et son sort n’est pas différent de celui d’une vitamine C classique, non liposomale.

L’affirmation selon laquelle la durée de vie de la vitamine C liposomale serait améliorée est donc erronée.

A notre connaissance, la seule vitamine C pour laquelle les données publiées suggèrent un allongement de la durée de rétention de l’acide ascorbique dans l’organisme est l’Ester-C®, dont la pénétration cellulaire est plus forte que celle d’une vitamine C classique.

Les vitamines C liposomales ne contiennent pas toutes des solvants ou des additifs antipathiques !

Les solvants organiques ne sont pas indispensables

Certes, les méthodes de fabrication de liposomes décrites dans de nombreuses publications de pharmacologie impliquent l’utilisation de solvants organiques.

Nous ne pouvons pas nous prononcer sur les méthodes utilisées par d’autres producteurs de liposomes, mais les vitamines C liposomales labellisées ZetaGreen® ne font appel à aucun solvant organique (pas même l’alcool alimentaire), et ne contiennent évidemment aucune trace de solvant organique.

L’absence de solvant organique fait partie des garanties offertes par Nutrixeal avec le label ZetaGreen®.

L’utilisation de surfactants est à proscrire

De nombreux producteurs de liposomes choisissent d’utiliser des tensioactifs synthétiques puissants tels que le Polysorbate 80 ou encore des sucro-esters d’acides gras.

Nutrixeal proscrit de ses produits l’utilisation de tels tensioactifs, car nous estimons qu’ils sont notamment susceptibles d’altérer l’intégrité et le bon fonctionnement de la membrane intestinale et des différentes membranes physiologiques.

L’absence de surfactant synthétique fait donc également partie des garanties apportées par le label ZetaGreen®. Nous garantissons par ailleurs que les procédés ZetaGreen® sont éco-responsables, ne rejettent pas de déchets polluants et ne nécessitent pas de gaspillage énergétique. Nous vous invitons d’ailleurs à visiter le site ZetaGreen® si vous souhaitez découvrir les spécificités des procédés développés par Nutrixeal.

Les formes sèches de liposomes ne sont pas forcément inefficaces !

Sur ce point précis, on lit également beaucoup de jugements péremptoires et contradictoires sur le web…

Au sens strict, les liposomes n’existent réellement qu’en milieu liquide.

Toutefois, la présence d’eau peut donner lieu à des développements bactériens, qu’il est d’autant plus difficile de contrôler sans conservateur, que les liposomes supportent souvent assez mal une température excessive, ce qui complexifie les opérations de pasteurisation.

Différents producteurs (dont Nutrixeal) ont donc expérimenté plusieurs méthodes alternatives de séchage des liposomes.

Une fois séchés, les liposomes conservent plus ou moins leur structure, mais les forces qui maintiennent leur cohésion sont beaucoup plus faibles qu’en présence d’eau. Les liposomes secs sont donc plus fragiles et peuvent notamment être en partie altérés par les différentes opérations de manipulation et de conditionnement.

Néanmoins, selon les techniques de séchage et de protection employées, les liposomes secs conservent une capacité plus ou moins grande à se réhydrater et à se reconstituer en milieu liquide. Pour être honnête, après réhydratation, on observe souvent une certaine baisse de qualité des liposomes réhydratés par rapport aux liposomes initiaux.

Dans la technologie liposomale ZetaGreen®, nous visons une qualité exceptionnelle dans la fabrication des liposomes initiaux, de manière à garantir une excellente qualité des liposomes séchés et réhydratés.

Par ailleurs, la technologie ZetaGreen® nous permet d’atteindre à la fois une bonne efficacité énergétique pour sécher les liposomes, tout en optimisant le taux d’encapsulation des actifs, et la capacité des liposomes à se réhydrater correctement.

Nous considérons donc que le séchage des liposomes est un procédé tout à fait utilisable, qui permet en tout cas de s’affranchir de l’utilisation de conservateurs, assez difficiles à éviter avec les formes liquides.

En conclusion

Les vitamines C liposomales apportent des solutions galéniques efficaces, qui améliorent l’assimilation et la tolérance intestinale de la vitamine C.

Elles ne peuvent cependant en aucun cas atteindre l’efficacité physiologique des injections intraveineuses de vitamine C (qui nécessitent une prise en charge médicale et sont assez peu utilisées en France).

La durée de rétention de la vitamine C liposomale n’est pas améliorée par rapport à une forme classique.

Le label ZetaGreen® développé par Nutrixeal garantit l’absence de solvants organiques, de surfactants synthétiques et de gaspillage énergétique pour la fabrication des liposomes, ce qui fait des vitamines C ZetaGreen® des produits sûrs d’emploi et écoresponsables.

De plus, après séchage, les liposomes fabriqués par Nutrixeal sont stables et garantis sans conservateur.

Nutrixeal s’engage en outre pour garantir la fiabilité et la qualité des liposomes labellisés ZetaGreen®. Pour ce faire, nos équipes R&D travaillent continuellement à améliorer nos processus de contrôle qualité sur les liposomes ZetaGreen® et le laboratoire investit en permanence dans des outillages de mesure toujours plus sophistiqués et performants.

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